Monde – L'actualité de la semaine
- 25.09.2020
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- L'impatience des marchés financiers sur la sortie de crise !
- Rivalité géopolitique États-Unis-Chine : l'écologie instrumentalisée dans la bataille du multilatéralisme ?
- News géopolitiques
- Zone euro : une reprise d'activité qui s'essouffle à la fin du troisième trimestre
- France : signaux mitigés pour le climat des affaires en septembre
- Allemagne : des finances publiques enfin mises au service d'une croissance durable
- Chronique de la vie politique italienne : l'heure des bilans
- Espagne : agences de notation, derniers mouvements
- Un plan d'hiver pour soutenir les « emplois viables »
- Turquie : crise de confiance
- Hongrie : tensions économiques sur un fond politique déjà tendu
- Vietnam : une résistance à toute épreuve
- Tunisie : l'impact très douloureux de la crise sur l'économie
- Gabon : à peine sorti d'un plan FMI, le pays de nouveau en difficulté
- Tendances à suivre
En résumé
L'impatience des marchés financiers sur la sortie de crise ! Rivalité géopolitique États-Unis-Chine : l'écologie instrumentalisée dans la bataille du multilatéralisme ? Zone euro : une reprise d'activité qui s'essouffle. France : signaux mitigés pour le climat des affaires. Allemagne : des finances publiques enfin mises au service d'une croissance durable. Chronique de la vie politique italienne. Espagne : agences de notation, derniers mouvements. Royaume-Uni : un plan d'hiver pour soutenir les « emplois viables ». Turquie : crise de confiance. Hongrie : tensions économiques sur un fond politique déjà tendu. Vietnam : une résistance à toute épreuve. Tunisie : l'impact très douloureux de la crise sur l'économie. Le Gabon, à peine sorti d'un plan FMI, de nouveau en difficulté.

Les marchés actions ont vécu de nouveaux soubresauts cette semaine que ce soit outre-Atlantique ou sur le Vieux Continent. Aux États-Unis, la croissance de l'activité du secteur privé a ralenti au mois de septembre suggérant une perte de vitesse de la première économie mondiale en proie à une recrudescence de l'épidémie. L'approche de la présidentielle américaine en novembre et la possibilité que Donald Trump (aujourd'hui en retard de huit points dans les sondages face à son rival démocrate) puisse contester ou différer les résultats de l'élection comme évoqué lors d'une interview, ont fait frémir les investisseurs qui se sont détournés des actifs risqués.
Philippe VILAS-BOAS, Economiste